Julia Gregorini (biographie)

 

Je m’appelle Julia Gregorini, j’ai 20 ans, et je suis artiste autodidacte.

Depuis que je suis petite, le dessin a toujours été une évidence. Sans jamais prendre de cours, j’ai appris à exprimer mes émotions à travers le crayon, puis plus tard, à travers la peinture. C’est pendant la période du COVID, alors que le monde ralentissait, que quelque chose de profond s’est déclenché en moi. J’ai commencé à peindre mes premières toiles, guidée uniquement par l’envie, l’intuition et le besoin de m’exprimer. Très vite, ce qui n’était qu’un essai est devenu une révélation : j’avais trouvé ma voie.

En parallèle de mon activité artistique, je poursuis actuellement des études de bijouterie-joaillerie à Nice, une autre forme d’art minutieuse et créative qui me passionne. Ce choix d’orientation n’est pas un hasard : j’ai toujours été attirée par tout ce qui touche à la création, à l’esthétique, aux savoir-faire manuels qui demandent patience, précision et sensibilité.

Je travaille de manière instinctive, toujours portée par l’émotion. Chaque œuvre naît d’un ressenti, d’une énergie intérieure. Je n’ai jamais suivi de formation artistique classique : tout ce que je crée est le fruit d’une exploration personnelle, d’un apprentissage libre, et d’une recherche constante d’authenticité.

Au fil du temps, j’ai expérimenté de nombreux matériaux avant de trouver ce qui me ressemblait vraiment. Mon style s’est construit autour d’un mélange de techniques : la peinture acrylique, la peinture à l’huile, et surtout, le Pouring, une méthode fluide et intuitive qui a donné naissance à mon identité artistique. J’aime y associer des éléments inattendus comme la feuille d’or, le plâtre, et d’autres textures, pour donner à mes œuvres de la profondeur et du relief.

Je suis particulièrement attirée par l’hyperréalisme, mais ce qui m’importe avant tout, c’est que chaque tableau ait une âme. Ce que je cherche, c’est capturer une émotion brute, créer une connexion entre l’œuvre et la personne qui la regarde. Quand je peins, je m’efface pour laisser place à ce que je ressens. Et quand je sens que l’émotion est là, vivante, c’est là que l’œuvre prend tout son sens.

Bienvenue dans mon univers.